Le travail de Joanna Winograd reflète ses racines latino-américaines et les années passées dans différents pays européens. Les voyages et la diversité sont sa source d’inspiration et l’ouverture d’esprit guide sa créativité. Ne vous fiez pas à son univers graphique mignon, les sorcières et les sujets spooky ont sa préférence, comme en témoigne sa première publication en France, Les Monstres au plafond, avec Severine Loizon au scénario.
Vous pouvez découvrir son univers sur Instagram.
Quel genre d’adolescent étais-tu ?
Une ado un peu ennuyeuse.
Pourquoi as-tu commencé à dessiner des bandes dessinées ?
J’ai toujours aimé dessiner et mon père a toujours aimé les bandes dessinées. J’ai commencé à dessiner des bandes dessinées lorsque ce que je voulais dessiner est apparu dans ma tête sous la forme de dessins. Et je voulais raconter des histoires d’une manière rapide et amusante.
Chien, chat ou hamster ?
Des chats, des chats et encore des chats ! Mais j’aime aussi les chiens et tous les animaux.
Quelles sont tes influences ?
Fridah Kaloh, Tim Burton en un principal y en illustration : Edward Gorey, Maurice Sendak, Kitty Crowther, Liniers… entre autres.
Quel plat peux-tu manger, sans t’en lasser ?
PIZZA !
Le groupe de musique ou artiste que tu écoutes en boucle en ce moment ?
The Plasmatics et toujours un peu d’Iron Maiden.
De quoi es-tu le plus fier, en dehors de tes bandes dessinées ?
Ma fille 😄 et les t-shirts que j’ai imprimés dernièrement !
Que fais-tu pendant ton temps libre ?
Jouer avec ma fille et/ou dessiner.
Ta dernière lecture préférée ?
« Les vermeilles » de Camille Jourdy.
Quelle phrase espagnole peut nous sortir de n’importe quelle situation ?
« De tripas corazon. »
Quels sont tes projets pour Midsommar ?
Toujours à la recherche d’un plan pour la fête de la musique.
La sieste du solstice, sa participation à l’anthologie Midsommar, est sa première publication indé en France