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Jose Azorín aime Tove Jansson et ça se voit dans Solstitium

Né en Espagne, Jose Azorín est un touche à tout, qui a toujours un stylo à la main. Aussi bien illustrateur, graphiste, enseignant, que musicien, ce qu’il aime avant tout, c’est créer. Quand il n’est pas en train de dessiner, on peut retrouver Jose en train de manger des pâtes et de jouer à des jeux de rôle, pas forcément en même temps.

Quel genre d’adolescent étais-tu ?

Style grunge, timide, un peu émo. Je passais mes cours à dessiner sur mes cahiers. Plus ou moins comme aujourd’hui, peu de choses ont changé.


Pourquoi as-tu commencé à dessiner des bandes dessinées ?

Parce que j’ai un grand respect et un grand amour pour ce média. J’adore lire des bandes dessinées. Avec le cinéma, c’est la base de mon éducation culturelle, sans aucun doute. J’ai toujours voulu, depuis l’âge de 6 ans, pouvoir raconter mes propres histoires.

Chien, chat ou hamster ?

Je dois n’en choisir qu’un seul ? J’ai toujours préféré les chiens, mais maintenant je vis avec deux chats aussi ! Il m’est donc difficile de choisir.


Quelles sont tes influences ?

Tove Jansson, Jan, Simon Hanselmann, Júlia Sardà, Patrick McHale, Pendleton Ward, Scott Benson, Franz Josef Tripp, Albert Monteys, Daria Tessler… et des centaines d’autres……

Quel plat peux-tu manger, sans t’en lasser ? 

Des pâtes, des pâtes, des pâtes.


Le groupe de musique ou artiste que tu écoutes en boucle en ce moment ?

J’écoute en boucle « To Bring You My Love » de P.J. Harvey avec une obsession troublante.


De quoi es-tu le plus fier, en dehors de tes bandes dessinées ?

Pouvoir vivre de ce que j’aime le plus, la créativité.

Que fais-tu pendant ton temps libre ?

Eh bien, pendant mon temps libre, ce que je fais le plus, c’est… dessiner ! Parce que mon travail ne me laisse pas beaucoup de temps pour le faire.  Je lis aussi des BD, bien sûr, des romans, je regarde des films, je joue à des jeux de société ou à des jeux de rôle.

Mais si vous m’appelez pour boire un verre, je laisserai tout tomber et je viendrai. La vie est une question de priorités.

Ta dernière lecture préférée ?

« La vie pleine de joie du triste chien » de Marc Torices m’a époustouflée. Et j’ai beaucoup ri en lisant « Se tiene que morir mucha gente » de Victoria Martín.

Quelle phrase espagnole peut nous sortir de n’importe quelle situation ?

« Esto es como todo ». 

Quels sont tes projets pour Midsommar ?
Ici, ce serait la nuit de la Saint Jean. Pendant de nombreuses années, j’ai célébré cette nuit avec un feu de joie sur la plage et du vin. C’est un bon plan.

Solstitium, sa participation à l’anthologie Midsommar est sa première publication disponible en France.

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